Les 10 commandements du concepteur rédacteur freelance

Les 10 commandements du concepteur rédacteur freelance

Comme le rappellent les manuels du rédacteur: un article bien rédigé commence par un petit upercut sympa et amical. Voir drôle. Ces 10 commandements du concepteur rédacteur free-lance résument les bonnes pratiques du free-lance en général et du rédacteur en particulier. Ils se devaient donc de démarrer en suivant les canons du genre, avec la petite intro chic et choc qui capte l’intérêt du lecteur.

Oubliez les ficelles à la petite semaine, les 10 commandements du concepteur rédacteur free-lance ne sont pas une énième collection de recettes à monter en kit. Il s’agit du résumé de ma propre expérience, condensé en quelques points cruciaux. Ces conseils m’ont aidés à réussir.^

Vous pouvez les survoler rapidement avant d’aller taper la discut avec bob l’éponge ou d’éplucher le dernier post de kim Kardashian.  Vous avez le choix aussi de les garder bien au chaud, telle une bible de référence, que vous pourrez enrichir de vos propres bonnes pratiques.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, une petite remarque qui a son importance. Si je devais partir sur une île déserte avec un seul conseil pour réussir ma vie? Celui du père de Goethe^ à son fils : « fais ce que tu veux, mais va au bout de ce que tu entreprendras, petit scarabée. Agir, c’est finir ; Agir c’est terminer. »

Celà dit, vous n’êtes pas obligés de lire d’une traite cet article de fond. (In-depth article^ selon la terminologie consacrée par nos bons amis de Google.) .


Rule n°1  Chef d’entreprise, tu seras


Un concepteur rédacteur free-lance est un chef d’entreprise. Il produit, il vend, il livre, il facture. Il n’est pas ostréiculteur. Il est ostréiculteur et free-lance. Et il entend mener durablement une activité rentable.

S’il est bon concepteur rédacteur, son offre est de qualité. C’est un plus, mais ce n’est pas une condition suffisante.

chef-dentreprise-tu-serasPour mener à bien et de manière durable une activité rentable, il faut également savoir gérer un projet, suivre sa facturation, administrer, chercher des clients, savoir répondre à leurs attentes et à leurs enjeux, négocier, mener une équipe, et par-dessus tout : offrir un service fiable, tenir ses engagements et tenir ses délais.

Comment vendre, comment négocier, comment prospecter, comment gagner en visibilité et en notoriété, comment se faire régler dans les temps, comment optimiser en continu mes compétences et la qualité de mes services… autant de questions que tout bon concepteur rédacteur free-lance doit un jour se poser.

Etre un entrepreneur vous procure un avantage supplémentaire, celui de partager les enjeux de vos clients.


Rule n°2  Des délais, tu fixeras


Pas de travail sans durée de réalisation, pas de livrable sans délai. Fixer un délai vous permettra d’avancer surement vers la résolution de vos missions. Que ce soit vous ou le client qui en décide, la date de livraison doit être déterminée avant de débuter le travail. Dès le départ, évaluez le temps que vous prendra une production pour respecter un temps de création optimal. 

des-delais-tu-fixerasCe temps estimatif présente mille avantages. D’une part, il vous sera plus facile de démarrer une mission sans être effrayer par la tâche qui vous attend. Un catalogue de 120 pages, un spot radio, un article de blog ou une campagne internationale à tomber? Toutes les tâches présentent un caractère commun: ce sont des unités d’action et elles nécessitent d’avancer en un temps imparti.

Vous n’avez pas à faire quelque chose de simple ou de compliqué, vous avez à travailler 45 minutes, 1, 2, 3 ou 10 heures. 

D’autre part, fixer ce temps de réalisation impose un travail d’estimation et d’arbitrage qui vous simplifie la compréhension globale du travail à réaliser.

Souvenez-vous également : plus vous travaillez sur un projet qui a déjà atteint un stade de finalisation optimal, plus vous le gâcherez. Le temps optimum c’est le temps en deça duquel vous baclez et au-delà duquel vous corrodez votre travail.

Par ailleurs, pensez-y : vous n’êtes pas payé pour écrire, vous êtes payé pour écrire en un temps imparti. La production d’un concepteur rédacteur professionnel est sous contrôle. Ce n’est pas : un jour je t’écrirais ça, mais vous aurez les textes mardi avant 12h, au plus tard.

100 fois remettre sur le métier son ouvrage ? Boileau n’avait pas d’iPad.La perfection en productivité est de fournir un travail optimal en y consacrant un temps de ressources minimal. Par ailleurs, plus vous reportez un travail à réaliser plus il devient long et difficile à faire.


Rule n°3  Le brief, tu liras


Concepteur rédacteur free-lance, tu es aussi un technicien. L’amateur bidouille, le professionnel procède. No brief, no gain. Le processus de création commence avec le brief.

A chaque sujet, une technique appropriée, à chaque objectif, une somme de procédures. Souvenez-vous, il y a une étape à ne pas rater. Impossible à zapper sous peine de hors sujet, tremplin indispensable au démarrage d’un projet, boussole au cours de la résolution, gardien du temple au moment du livrable : le brief.

No Brief, No Gain.

Constituer et lire le brief est le troisième commandement du concepteur rédacteur (freelance). Aucun travail n’est commencé si vous n’avez pas constitué, lu et assimilé le brief.

Tout comme la moitié d’un problème est solutionnée lorsque l’on a compris la question, lire le brief permet d’avancer rapidement dans la bonne direction. Avoir intégré le brief, vous aide également à vérifier votre trajectoire au cours de l’avancée du livrable.

 Vous êtes certains que votre travail répond aux indications du brief ? Bravo. Cela facilitera les étapes de conseil, de validation, de négociation et en règle générale tous les échanges que vous aurez avec vos clients.


Rule n°4  Par itération, tu progresseras


Rédiger c’est progresser. Vous n’êtes pas obligés de finir avant d’avoir commencé, de réussir avant d’avoir essayé, de terminer avant d’entreprendre. Le travail en itération vous facilitera la tâche à chaque étape de la résolution d’un livrable.Une seule règle : terminer ce que l’on commence.

Couper une forêt, c’est couper des arbres. Un arbre, puis un arbre, puis un autre. 

Tout comme le sculpteur travaille sa matière pas à pas, dégrossit le bloc de marbre brut, y dessine des silhouettes, puis trace les contours des visages, affine, peaufine avant de polir son œuvre, vous aurez à franchir des étapes.

Fondée sur une approche de la philosophie Kaïzen qui vise à enseigner comment atteindre la perfection en cherchant à privilégier les améliorations progressives au quotidien, ma théorie est la suivante : travailler par itération permet de progresser surement et rapidement vers la résolution d’un travail de concepteur rédacteur freelance.

Grâce au travail en itération, en toutes circonstances, vous saurez trouver l’impulsion de vous lancer dans la bagarre d’une création. Vous n’êtes pas obligés de commencer par le plus difficile. Si ça vous aide à faire le premier pas, commencez par le plus simple.

Il sera toujours temps d’améliorer votre travail en cours de progression. C’est aussi l’avantage du travail itératif : il vous permet d’optimiser votre travail tout au long du processus de création.

Attention : Pour donner le maximum de son efficacité, cette règle doit être assortie d’une clause : toujours fixer un délai de réalisation. Vous serez sûrs ainsi de ne pas vous arrêter en chemin, d’accorder un temps adéquat à chaque étape et de livrer votre commande dans le temps imparti. 


Rule n°5  La poésie, tu pratiqueras


Artiste ou artisan du verbe, lettré ou touriste, le bon rédacteur aura tout à gagner à pratiquer la poésie. La poésie est l’art de la précision. La précision est le tranchant du style.

Concepteur rédacteur freelance - DaliO, savoir écrire vous sera utile, ce n’est pas une condition suffisante pour réussir, mais en tant qu’entrepreneur il vous sera grandement profitable d’avoir un produit de qualité à vendre.

Depuis les années 1970, les cellules créatives des agences sont organisées avec deux personnages. Le directeur artistique, celui qui colorie, qui fait des images, le concepteur rédacteur, celui qui écrit, celui qui rédige. Est-ce un hasard ? Non.

Tout auteur sait qu’il existe mille et une manières de dire je t’aime.

Si l’alphabète moyen comprend la différence entre l’esprit et la lettre d’un texte, entre le fond et la forme, le concepteur rédacteur professionnel possède un savoir-faire supplémentaire. Il sait distinguer ce qui relève du message et ce qui relève de l’objectif marketing.

Vous n’avez qu’une seule priorité dans l’exercice : adapter un discours à une cible, combiner un texte et le déclenchement d’une action.

Comment apprendre à bien écrire ? « Pour bien écrire, il faut beaucoup lire, beaucoup méditer, beaucoup écrire. » disait Charles (#Baudelaire). Sinon, jouez au jeu des synonymes et des contraires. Souvenez-vous aussi qu’un créatif ne cherche pas la solution mais des solutions. Le soleil est dans le ciel. Le soleil brille dans le ciel, le soleil illumine, le soleil réchauffe, le soleil flamboie.


Rule n°6  Orpailleur, tu deviendras


De plus, et avec, par ailleurs, en outre, en revanche, néanmoins, en effet, également, et, cependant, donc … amateur ou professionnel, tous ne sont pas égaux devant les conjonctions de coordination.

Une phrase de Flaubert ou de Maupassant peut s’avérer opportune dans un roman culte. Dans une lettre de marketing opérationnel, elle risque d’avoir perdu son lecteur avant qu’il n’ait compris le premier mot du titre. Avant même qu’il n’eut tenté d’essayer.

Comment éviter de tomber dans le piège de celui qui se regarde écrire? Comment ne pas tomber dans les chausse trappes d’une écriture boursouflée que vous serez seuls à trouver belle ? Simple: commencez par réviser régulièrement les règles établies par les canons d’une écriture saine, qu’elles soient d’ordre grammatical, syntaxique ou orthographique.

Savoir rédiger un texte de manière dynamique, supprimer la graisse des adjectifs et des adverbes inutiles, privilégier les phrases courtes, surveiller le rythme, varier les structures de phrase, organiser un paragraphe, enchainer les idées en marquant les liaisons, condenser les arguments, … autant d’atouts qui vous seront utiles.

C’est une idée assez répandue (qui fait sourire les rédacteurs professionnels) : puisqu’un simple stylo suffit, tout le monde peut le faire. En effet, écrire ne nécessite l’apprentissage d’aucun logiciel compliqué, mais écrire pour être lu, pour séduire et pour faire agir, c’est un métier et ça s’apprend. 

Ne négligez pas de vous mettre en conformité avec les règles sémantiques et orthographiques enseignées par les professeurs de français et de journalisme. Si vous voulez devenir concepteur rédacteur professionnel, souvenez-vous, il y a un piège : C’est un métier.


Rule n°7  Organisé, tu seras


Le secret d’une bonne organisation ? Il tient en une équation simple : 1 texte à livrer = 2 outils dans votre panoplie, la méthode NERAC + la méthode du single-tasking.

La méthode NERAC : Noter- Estimer- Réserver- Arbitrer- Contrôler. Particulièrement utile pour gagner du temps et hyérarchiser son emploi du temps, elle est aussi très efficace pour fermer la boutique. Tout est noté, tout est sous-contrôle, vous pouvez tirer le rideau.

En plus d’être l’un des deux piliers de la productivité, la méthode Nerac est également un bon moyen d’équilibrer vie professionnelle et vie privée.

STAY FOCUS. Restez concentrés. Le deuxième secret de la productivité est la méthode que les anglo-saxons appellent le Single-task, ou Single-tasking. Il s’agit de rester concentré sur une seule tâche à la fois.

Comme sur une séquence narrative de pièce dramatique. Unité de lieu, de visée et d’action.

La séquence narrative a 5 critères de pilotage : une situation initiale, un élément perturbateur, des péripéties, un élément équilibrant, une situation finale. (vous pouvez lire  le Grand secret de la productivité, pour optimiser vos méthodes de concentration.)

Restez concentrés le temps que vous avez décidé sur une seule production. C’est le meilleur moyen de produire vite et bien.

Vous voulez être productif ? Produire la meilleure qualité qui soit en un temps optimal ? Fixez-vous un délai et travaillez sur une tâche unique sur toute la période.

Single-Task ou Multi-Task, quand et comment choisir entre ces deux modes de travail ? Il y a deux manières detravailler. Le single-tasking qui consiste à rester concentré sur une seule tâche à la fois, le multi-Tasking qui consiste à faire plusieurs choses à la fois. Une seule règle. Disons deux règles. La première, inspiration-respiration, tout est affaire d’équilibre. La seconde, le conseil du père de Goethe à son fils : « Terminez ce que vous commencerez. » La productivité, c’est l’action. Agir c’est terminer ce que l’on commence.


Rule n°8  Tes engagements, tu tiendras


Le seul personnage clé dans la pièce, désormais, c’est vous.

Oubliez le grand sous-marin jaune RSCG de la grande époque, pré-loi sapin, quand l’exploitation des diamants de la pub se faisait encore à ciel ouvert, quand Jacques Séguéla n’avait pas encore de poils blancs, ni de poils tout court.

Finies les papouilles au Ritz d’Acca-Pulco avec la plus belle des mannequins du dernier shooting pour Lancôme. Finies les parties de chasse sur Downtown NYC.

Terminés les regards humides de la directrice Marketing Monde de Procter et Gamble. S’il vous prend des vapeurs de diva, gardez les pour le boudoir. Il n’est plus temps pour les caprices.

Vous n’êtes ni le laquais, ni la p* de vos clients, mais tout comme le majordome trouve la noblesse de son emploi dans le fait de servir son maître, vous êtes au service de votre donneur d’ordres.

La confiance se résume à dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit. S’engager c’est graver dans le marbre la promesse d’un livrable, d’une réalisation, d’un service. Un fournisseur qui tient ses engagements est un fournisseur fiable. Un fournisseur fiable est un fournisseur que l’on mandate. Régulièrement. Et longtemps.


Rule n°9  La procédure, tu suivras


Blindez la procédure de commandes. Blindez le devis, blindez les modalités de règlement, blindez les frontières de votre prestation.

Les 10 commandements du concepteur rédacteur freelancneGardez à l’esprit votre objectif. Vous travaillez pour être payé. En trois mots : le love, la blanquette, les japonais. Pour quoi travaille-t-on ? Le chèque.

En tant que concepteur rédacteur free-lance, vous facturez un service et vous le faites pour encaisser un règlement. Le coup d’envoi a été donné ? La ligne d’arrivée est claire, c’est le dépôt d’un chèque approvisionné sur votre compte en banques.

Certains donneurs d’ordre inexpérimentés vous prendront (de haut) pour le bohémien qui vient louer ses bras, venus des faubourgs pour mendier du travail. Ils vous imagineront gaucher avec deux bras droits. Manant venu de la périphérie sociétale, lèpre galeuse, oublié du bonheur, handicapé de la fonction, sous-merde en somme, …

Selon leur degré d’expérience, leur nature profonde et leur humeur du moment, vous serez jugé et « piloté » avec plus ou moins de perspicacité, confrontés au mépris, au dédain, à la bêtise, et parfois, j’avoue, aux envies de meurtre.

Pas de panique. Restez violents. Ces donneurs d’ordres sont heureusement faciles à reconnaitre. Ce sont des transsexuels. Ou des femmes (jeunes).

CE N’EST PAS SALE. Les modalités de règlement sont votre assurance-vie. Dans tous les cas, que votre relation clients soit un modèle au paradis ou un enfer sur terre, clarifiez, validez, et contrôlez la procédure du devis, du bon de commande, de la facturation et du règlement. Ca assainira vos relations commerciales et vous dormirez sur vos deux oreilles. (Pas loin de la piscine à débordements avec vue sur la plage 😉


Rule n°10  Libre, tu vivras


Vous êtes free-lance, vous êtes libre, vous avez les foies ? C’est normal. La liberté est source de stress.

Pas de recours, pas de filet. Si vous dévissez, la cordée lâche. Désormais, l’homme clé dans la pièce, c’est vous. La liberté est une médaille. Elle a ses avantages mais aussi ses revers. Apprendre à gérer le stress vous sera grandement profitable.

Les 10 commandements du concepteur rédacteur freelancneLa vie active en général et la liberté en particulier, sont toutes deux anxiogènes. Ce n’est pas un scoop. Salariés, Patrons, Cadres, Entrepreneurs, Chômeurs, Free-lance, tout le monde flippe.

En tant qu’indépendant vous aurez à gérer des inquiétudes auxquelles sont moins exposés les salariés.

Comme par exemple, le stress qui peut naitre d’une trop grande porosité entre vie professionnelle et vie personnelle.

Au stress du créatif, vous ajoutez maintenant le stress du patron. Combien de missions seront facturées non pas dans six mois ou un an mais le mois prochains, les délais seront-ils tenus, etc… ?

Comment vaincre le stress ? Le stress n’existe pas, il n’existe que des idées stressantes. Comme toutes les idées, vous pouvez les contrôler.

L’environnement, les circonstances, les évènements ? Ce sont des éléments du tableau et non le tableau en lui-même. Comme une gangrène, comme un aimant, le stress prend les rênes de votre conscience et l’oriente. Souvenez-vous cependant : Le stress est à votre conscience ce que les oiseaux sont au ciel.

Les oiseaux volent dans le ciel, ils ne sont pas le ciel. Prenez l’habitude de vous focaliser aussi sur les autres éléments du décor. Il n’y a pas que les oiseaux, dans la vie, il y a aussi, les nuages, le soleil, la mer, les volcans, les forêts, les plaines, les montagnes, les lacs, les rivières et Brigitte Bardot.

Autre Astuce utile : l’homme qui n’a pas peur devant un tigre qui charge, n’est ni le lâche ni le courageux, c’est celui qui est mangé. Avoir peur est normal et c’est souvent fort utile. Avoir du courage, ça s’apprend. C’est une technique. En trois mots : la Méditation, l’humour, le shopping.


Avant dernier conseil final


Il vous sera très bénéfique d’avoir travailler en agence dans votre carrière, les standards créatifs et marketing y sont des plus élevés, et vous exercerez vos talents sur des budgets qui ont les moyens d’être exigeants. En revanche, revenez-nous vite.

Etre concepteur rédacteur free-lance c’est expérimenter l’immense privilège d’être le chef. El Capo. Le patron, le boss, le taulier.

A vous les grands horizons, à vous la pampa. Finies les pâtées du loup domestique. Vous mangerez quand vous chasserez, vous chasserez quand vous aurez faim. Vous n’êtes plus un numéro, vous êtes un aigle, un lion, vous êtes le loup sauvage. … Free ! … I believe i can fly, i believe i can reach the sky … Have fun, Folks 😉

Pierre Catel - Concepteur rédacteur et gentil organisateur du collectif de créatifs freelance SPACE-MONKEY Création.

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6 Comments
    • Lénaïc
    • 21 novembre 2016

    Quel bel article !
    Hormis le fait que le contenu est particulièrement pertinent, j’ai adoré le ton et la plume de l’auteur.

    Bravo, et merci !

    • Muriell
    • 13 octobre 2016

    Très bel article, aussi pertinent qu’agréable à lire 🙂
    Une jeune padawan qui se lance dans l’aventure free lance…

  1. Super article 🙂 Je partage la plupart des constats et surtout le dernier : la liberté du freelance. Quel bonheur, quand on sait bien gérer tout le reste !

      • monkpage75
      • 4 avril 2016

      Oui, c’est un beau métier Eve. Un tout petit peu plus stressant que prof de skysurf ou explorateur de lagons sauvages, mais sinon tout bien. Have a good day… Merci pour ton petit message.

  2. Bonjour,
    Je me lance en tant que rédactrice free-lance, et j’ai beaucoup aimé la partie sur le stress (qui monte déjà, et qui suite à cette lecture à été remis à son statut d’imaginaire.)
    Et pour le reste, je vais le potasser au fur et à mesure de mes contrats.
    Bises!

      • Monkpage
      • 11 février 2015

      Entendu Anahita. Bienvenue dans la grande famille des cr freelance… Je vous souhaite beaucoup de succès. Stay tuned…

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